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Return to Equinoxes, Issue 1 : Printemps/Eté 2003
Article ©2004, Zeina Hakim

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Annales historiques de la Révolution Française
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Histo-forums sur les Femmes à la Révolution Française

Zeina Hakim, Columbia University

De la fureur à l'hystérie :

les représentations de la monstruosité féminine à la fin du XVIIIe siècle

L'emploi du terme « monstre » pour qualifier les citoyennes révolutionnaires de la fin du XVIIIe siècle n'est pas rare. En effet, les discours de l'exclusion des femmes à cette période se fondent essentiellement sur l'opposition des rôles masculins et féminins, liés à une certaine idée de la différence des sexes qui domine pendant la Révolution française. L'imaginaire révolutionnaire est ainsi marqué par le portrait d'une Femme Idéale, auquel se sont d'ailleurs heurtées les militantes de l'époque ; ces dernières en ont dès lors élaboré un autre, celui de la femme née de la Révolution.

Cette femme idéale, telle qu'elle ressort des discours de plusieurs dirigeants ou des réflexions de la population, ressemble comme une sœur à la Sophie dont rêvait Rousseau pour son Emile. Le philosophe considérait que « la première et la plus importante qualité d'une femme est la douceur » (482), opinion partagée par un grand nombre de révolutionnaires. La douceur, accompagnée de la retenue et de la timidité, est considérée comme une qualité naturelle et essentielle au sexe féminin. Elle constitue, selon le député André Amar, rapporteur du Comité de Sûreté Générale, une de ses vertus, son charme (299-300).

Derrière le discours sur la Nature, on relève sans difficulté les raisons qui guident la volonté de rejeter les femmes hors du monde politique. Raisons de mentalités d'abord, reposant sur la peur d'une possible contestation de la supériorité masculine. La simple idée que les femmes puissent acquérir les mêmes droits que les hommes terrifie littéralement certains, car un tel bouleversement engendrerait une ère de folie et de désolation. C'est ce que révèle le Rapport de Prévost du 29 octobre 1793 quand il décrit les Citoyennes Républicaines Révolutionnaires comme des « monstres » armés de piques et poignards : « Les femmes, êtres monstrueux, égorgeraient leurs compagnons au moment où ils ne s'y attendraient pas, alors ceux-ci abandonneraient tout et […] laisseraient dans les femmes régner une Catherine de Médicis qui enchaînerait les hommes » (187).

Cette vision apocalyptique de femmes monstrueuses s'armant pour assassiner les hommes au cours d'une Saint-Barthélémy sexuelle revient à plusieurs moments de la Révolution. Elle tire son existence de l'image qui fait de la femme une créature maléfique porteuse de destruction. Les mythes de Pandore et d'Eve, sources de malheurs du genre humain dans les civilisations grecque et judéo-chrétienne, ressortent pendant la Révolution, et certaines raisons données pour éliminer les femmes de la vie politique en relèvent directement. Un sans-culotte explique ainsi que « Marie-Antoinette, femme du dernier tyran, est la perte de la France et [que] la Corday a assassiné l'Ami du Peuple », voulant dire par là que les femmes ne doivent pas être admises à délibérer sur les affaires d'une section (Discours à la Commune 18 : 450).

Par ailleurs, bien que relevant de la même image de femme destructrice, des arguments plus rationnels apparaissent dans le jugement négatif porté sur les militantes. Discours de dirigeants et rapports de police révèlent ainsi la crainte politique, reposant sur la vision d'une femme génératrice de chaos, d'une lutte des sexes qui, s'ajoutant à la lutte des classes existante, romprait l'unité de la République, désorganiserait la société et mènerait tout droit à l'anarchie et à l'échec de la Révolution. En ce sens, les revendications féminines et les clubs de femmes ne peuvent qu'être, selon les termes mêmes d'un observateur de police, « une pomme de discorde » que les contre-révolutionnaires ont jetée parmi la population (Rapport Latour-Lamontagne 18 : 246).

De plus, à l'image d'une femme destructrice alliée ou instrument de « l'ennemi » se mêle celle d'une femme exaltée et excessive. André Amar, qui dans son rapport insiste tellement sur la douceur des femmes, ajoute qu'elles « sont disposées par leur organisation à une exaltation qui serait funeste dans les affaires publiques ». Ainsi, mentalités (images contradictoires d'une femme douce et faible ou exaltée et funeste) et raisons politiques (peur d'une division, d'un manque d'instruction politique des femmes, de leur violence) se rejoignent-elles pour aboutir à la volonté d'exclure les femmes du champ politique. Volonté qui se présente comme dictée par la Nature qui a fait les deux sexes différents. Aussi, les militantes qui ne lui obéissent pas ne peuvent-elles être que des monstres ayant dérogé à l'idéal de mères et d'épouses douces et faibles. Cette idée que la Nature a posé des limites, des bornes qu'on ne saurait dépasser revient fréquemment : telle femme « s'est permis de traîner des canons », et est « sortie des bornes de son sexe » (Rapport Latour-Lamontagne 18 : 124) ; telle autre appelle ses compagnes à ne point franchir les « bornes prescrites par la nature » (Discours Joséphine Fontanier 18 : 414). Celle qui ne suit pas ces bons conseils ne peut être que le négatif de la femme idéale. Il n'y a pas de place pour celles qui « intervertissent monstrueusement l'ordre de la nature », « confondent les sexes avec indécence » (Dehaussy-Robecourt 11 : 165), bref, qui n'obéissent plus à une conception rigide de la différence des sexes.

On voit donc là l'importance des deux images antinomiques de la femme pendant la Révolution : celle positive de la mère dévouée à sa famille, dont l'activité s'exerce dans le cercle privé du foyer, et celle qui lui répond en négatif, celle de la militante qui a transgressé cette vision idéalisée en participant à la vie publique. Cependant, l'image de la femme douce, vouée à sa seule famille, n'est pas née avec la Révolution. Mais la période révolutionnaire s'inscrit dans un mouvement qui voudrait rendre cette image réelle. Le discours masculin d'un André Amar est ici emblématique : il vise à exclure les femmes du public et donc du politique. Toutefois, la Révolution conserve ses caractéristiques propres : l'on ne peut faire abstraction de l'existence d'un important mouvement populaire féminin, qui a effrayé de nombreux contemporains parce qu'il était féminin et/ou parce qu'il était populaire. Cette peur les poussa à y mettre un terme et à renvoyer ces révolutionnaires ou ces émeutières dans leurs foyers en insistant sur le fait qu'elles étaient des femmes. Ainsi, les décrets destinés à exclure les citoyennes du champ public et politique correspondent à une évolution générale, la renforcent, et ne peuvent être réellement compris sans se référer à l'action des militantes populaires.

Pourtant, cette exclusion n'est pas motivée par une argumentation politique, mais par un discours sexiste qui tente, au prix de certaines contradictions, de refuser à la femme non les droits mais carrément une « nature » civique. Toute figure atypique méritera donc condamnation, non plus parce que la femme est mauvaise mais parce que sa bonne nature a été pervertie. L'idéal domestique sera simplement opposé à la vie dans la cité ; la douceur exquise et requise rendra odieuse la violence de la « furie » - ou « harpie », « mégère », « cannibale » - qui « aboie », « glapit », s'adonne au pugilat côté rue et, côté cour, se mue en « Monstre », en « Louve » et en « Architigresse », autant d'images des femmes qui sont construites dans le vocabulaire des hommes :

La volubilité importune et opiniâtre de leur langue que rien n'a pu arrêter prouve de quoi elles sont capables. […] Dans les groupes, on a distingué beaucoup de parleurs qui cherchaient à travailler l'opinion, c'étaient les femmes qui faisaient le plus de bruit et s'exprimaient avec une véhémence outrée, une chaleur qui, souvent, a des suites fâcheuses. Les femmes exaspèrent ainsi, par leurs glapissements, les têtes faibles qui les écoutent. Le 12 germinal an III, les monstres ont pénétré dans la Convention et, par leurs hurlements affreux, ont empêché pendant quatre heures les représentants de délibérer (Rapport de police 22 : 343-345).

On remarque ici que c'est la voix qui prouve la dénaturation féminine. En effet, avec la curiosité, la parole est l'une des caractéristiques essentielles des femmes dans ce discours. Toute une série d'expressions relatives à l'élocution l'associent à elles. Ne se moque-t-on pas ainsi des « langues de commères » et non des « langues de compères » ? Cette transcription du regard amusé, voire dédaigneux, porté par une société masculine sur les femmes est riche en possibilités comiques. De la « langue de commères », l'on glisse sur le plan social à la « voix de poissarde », si insupportable aux oreilles de la bienséance bourgeoise : regard méprisant porté par une classe sociale sur une autre au comportement prétendument non policé, sauvage. A ces deux expressions répond sur le plan politique celle de « vociférations de furies de guillotine », qui ne révèle plus ni amusement ni mépris, mais hargne et hostilité. Les voix des femmes ont en effet fait retentir les rues de la ville de colère, de désespoir, d'espérance. Vecteurs de la rumeur ou supports d'incitations à l'action, elles n'ont cessé de hanter la Révolution parisienne, d'en rythmer les épisodes, de 1789 à 1795.

Au départ donc, la voix est un attribut qui caractérise les femmes de façon spécifique. Comme telle, elle ne peut et ne doit pas, pour certains, sortir du territoire dans lequel évolue la femme idéale : en fidèle disciple en misogynie de Rousseau, qui pensait que le ciel ne « donna pas aux femmes une voix si douce pour dire des injures » (483), le journaliste Prudhomme écrit que « leur babil aimable perdrait à franchir le seuil de leur ménage », s'exposant alors à se transformer en « stériles caquetages troublant les délibérations des assemblées » (Révolutions de Paris, 18 : 150). Des témoignages s'attardent sur la sonorité particulière de la voix de certaines femmes : ainsi, le 17 mai 1794, les commissaires de la section du Finistère ne s'appesantissent pas sur les injures qu'a pu leur lancer une jeune blanchisseuse, mais bien sur sa « voix glapissante et perçante qui prédominait sur toutes les autres femmes » (Rapport Latour-Lamontagne 20 : 211).

Par ailleurs, lorsque les femmes sont perçues comme un ensemble, elles sont souvent associées à l'idée de bruit. « La rumeur s'empare des femmes : ce ne sont point des cris, mais des hurlements monstrueux, ou pour mieux dire une vocifération atroce » (Rapport 18 : 265) écrit, le 24 février 1794, Henriot qui s'attarde à la description de leurs voix. Rumeurs, murmures, bruit, tapage sont les composantes quotidiennes des queues de ménagères, qui deviennent parfois des « criardes » dans les rapports de police.

Les femmes possèdent donc une aptitude particulière à utiliser leur voix pour causer des rassemblements. Toutefois, des cris qui troublent l'ordre public ne sont pas nécessairement menaçants pour l'ordre social et politique. Et les voix des femmes ne sont chargées d'une potentialité de danger que dans le cas où elles ne se limiteraient pas à exprimer une colère sans débouché politique, mais se feraient au contraire vecteur privilégié d'opinions politiques. Et c'est bien là ce qui s'est passé pendant la Révolution. Le comité civil de la section est bien conscient d'un réel danger lorsqu'il écrit laconiquement au sujet d'une femme arrêtée en mai 1795 : « On ne sait si le cœur est bon, mais la langue est funeste » (Aux Républicaines 18 : 250).

En 1794 et 1795, et déjà dans une moindre mesure en 1793, ces voix de femmes sont rendues inquiétantes par les appels à l'action, et plus précisément à l'action insurrectionnelle, qu'elles émettent. Les femmes sont les principaux vecteurs non pas simplement de la rumeur, mais de toute propagande orale. C'est par leur voix que des militantes se sont taillé une réputation de révolutionnaires ; du moins est-ce ainsi que certains présentent les choses, tel ce rapporteur qui écrit d'une citoyenne : « femme extrêmement dangereuse, […] des plus monstrueuses par ses vociférations » (Messager du Soir 25 : 87). Cette fonction propagandiste de la voix des femmes, porteuse d'appels à l'insurrection, repose en réalité en grande partie sur leurs rapports privilégiés avec la rue et les groupes qui s'y forment.

Faut-il en conclure que dans le mouvement populaire l'incitation à l'action viendrait essentiellement des femmes, tandis que l'action elle-même resterait l'apanage des hommes ? Les femmes parleraient (ou crieraient), les hommes agiraient ? Non, car les premières participent aussi physiquement à l'action, et si elles en appellent aux hommes détenteurs de la force armée, c'est pour que naisse une action masculine et féminine commune, l'action du mouvement populaire riche de toutes ses composantes. De plus, l'on ne peut dissocier la voix de ce qu'elle émet : à la formule lapidaire « les femmes parlent », l'on doit dans tous les cas ajouter : « Que disent-elles ? Et quelles sont les conséquences de cette parole ? ». On peut alors aborder le problème sous un angle différent : la parole féminine, souvent prélude à l'acte insurrectionnel, génératrice de l'action, en devient finalement l'un des éléments. Là réside l'une des originalités de la participation féminine au procès révolutionnaire, et de la place des femmes en tant que groupe distinct dans le mouvement populaire.

Le rêve depuis toujours, c'est donc l'épouse muette : la « langue », le « bavardage » des femmes, vieux lieux communs, les revoici, devenus « cris » ; le « babil » a dégénéré en « hurlement monstrueux ». Le grief vise une usurpation de la parole devenue insupportable quand les femmes accèdent au discours. Pour comble, cette rhétorique réclame des piques, au lieu de bercer des enfants (que ces fausses femmes ne font pas) et de cajoler un mari (qu'elles n'épousent pas).

Les hommes, souhaitant que les femmes restent muettes, refusent en outre toute demande d'admission d'une femme comme « voix consultative » à l'Assemblée. Ce refus éclaire les contradictions de la misogynie révolutionnaire. Ces patriotes sont prêts à entendre les femmes mais ne peuvent leur prêter une « voix ». C'est ainsi que la demande d'admission avec voix consultative de Théroigne de Méricourt est refusée par l'Assemblée en février 1790 (Harten 89-90).

Bousculés par les cris et les incitations des femmes, les hommes jugent celles-ci en les décrivant comme hors d'elles, monstrueuses et excessives. Les femmes sont donc contraintes (voire dénaturées) par le regard masculin. Elles-mêmes sont conscientes de se trouver dans une impasse et se sentent piégées par la manière dont leurs actes sont tirés du côté des représentations de la fureur et de la monstruosité. Cela d'autant plus que, privées de l'exercice du langage politique traditionnel, elles savent que leurs mots et leurs gestes sont tirés du côté de l'irrationalité. Au XVIIIe siècle et notamment sous la Révolution, ce sera un des problèmes les mieux exprimés par certaines d'entre elles, notamment dans quelques cahiers de doléances où elles se disent étouffées :

Homme, es-tu capable d'être juste ? C'est une Femme, objet continuel de l'admiration et du mépris des Hommes, qui t'en fait la question ; tu ne lui ôteras pas du moins ce droit. Dis-moi ? qui t'a donné le souverain empire d'opprimer mon sexe ? ta force ? tes talents ? Observe le créateur dans sa sagesse ; cherche, fouille et distingue, si tu le peux, les sexes dans l'administration de la nature. Partout tu les trouveras confondus, partout ils coopèrent avec un ensemble harmonieux à ce chef-d'œuvre immortel. L'Homme seul s'est fagoté un principe de cette exception bizarre, aveugle, boursouflé de sciences et dégénéré, dans ce siècle de lumières et de sagacité, dans l'ignorance la plus crasse, il veut commander en despote sur un sexe qui a reçu toutes les facultés intellectuelles ; il prétend jouir de la révolution, et réclamer ses droits à l'égalité, pour ne rien dire de plus (De Gouges 25).

Ainsi justifie-t-on l'exclusion des femmes du forum en 1793, le refus du droit de vote par les trois Assemblées, les interdictions des clubs féminins fin 1793 ainsi que l'exclusion de toute vie politique en 1795. Mais ce discours ne parvient pas à gérer autrement que par la force ses contradictions : comment renvoyer dans ses foyers, pour y exercer sa douceur naturelle, cette violence monstrueuse ? Comment exclure de la sphère publique - au nom de la nature - celle-là même que la Révolution a sacrée héroïne de 1789, acceptée et écoutée dans ses assemblées, celle qu'elle a déclarée « majeure » et promue déesse, mère régénératrice et éducatrice ? Peut-on applaudir l'énergie patriotique d'un sexe voué par sa faiblesse morale et physique à ne jamais franchir « le cercle des fonctions privées » ?

Un nouveau discours d'ordre médical va donc se mettre en place : ce discours justifie l'inaptitude des femmes à la vie publique et dépasse la contradiction qui juxtaposait faiblesse et violence féminines. Ce sera celui de « l'hystérie », affection mi-physique, mi-mentale, découverte au cours du XVIIIe siècle, qui donnera sens à la contradiction et qui fera de la femme une constante malade en puissance, à jamais plus faible que l'homme. Lui est un esprit doté de muscles, elle n'est qu'un corps : une frêle enveloppe dont le centre est l'utérus. Celui-ci détermine toute la sensibilité féminine et prédispose la femme aux convulsions, aux ardeurs anormales, aux cris incontrôlés, au dérèglements de l'imagination, à la folie monstrueuse qui la caractérise, et lui interdit toute spéculation intellectuelle et toute parole censée. Conséquence : il faut du calme et la sécurité du foyer à cet utérus susceptible. Exposé à de nocives influences, Dieu sait quels troubles il provoquera, dangereux pour la santé de l'individu comme pour celle de la nation, telle l'hystérie collective des femmes en foule.

Universelle et contagieuse, cette déraison qui réconcilie les engagements les plus opposés, et guette les prétendantes à l'exercice de la raison, vient conforter « scientifiquement » l'ordre naturel, c'est-à-dire bourgeois, de la famille. Ce n'est, à la fin de la Révolution, qu'un argument propre à renvoyer les femmes de l'espace public qu'elles occupent encore ; le XIXe siècle s'en servira pour les empêcher - longtemps - d'y revenir.

Works Cited

Aux Républicaines. Réimpression de l'ancien Moniteur depuis la réunion des Etats-Généraux jusqu'au Consulat, mai 1789-novembre 1799. Vol. 18. Paris : Henri Plon, 1860. 250.

De Gouges, Olympe, " Déclaration des Droits de la Femme et de la Citoyenne ". 1791. Opinions de femmes de la veille au lendemain de la Révolution française. Paris : Côté-femmes, 1989. 25.

Dehaussy-Robecourt répondant comme président de la Législative à la pétition des femmes demandant le droit de s'armer le 6 mars 1792. Réimpression de l'ancien Moniteur depuis la réunion des Etats-Généraux jusqu'au Consulat, mai 1789-novembre 1799. Vol. 11. Paris : Henri Plon, 1859. 165.

Discours à la Commune du 27 brumaire an II. Réimpression de l'ancien Moniteur depuis la réunion des Etats-Généraux jusqu'au Consulat, mai 1789-novembre 1799. Vol. 18. Paris : Henri Plon, 1860. 450.

Discours prononcé par Joséphine Fontanier le 24 frimaire an II section de l'Unité. Réimpression de l'ancien Moniteur depuis la réunion des Etats-Généraux jusqu'au Consulat, mai 1789-novembre 1799. Vol. 18. Paris : Henri Plon, 1860. 414.

Harten, Elke, Femmes, culture et révolution. Paris : Ed. des femmes, 1989.

Messager du Soir du 14 germinal an III. Réimpression de l'ancien Moniteur depuis la réunion des Etats-Généraux jusqu'au Consulat, mai 1789-novembre 1799. Vol. 25. Paris : Henri Plon, 1863. 87.

Rapport d'Amar sur l'interdiction des clubs de femmes et séance de la Convention du 9 brumaire an II. Réimpression de l'ancien Moniteur depuis la réunion des Etats-Généraux jusqu'au Consulat, mai 1789-novembre 1799. Vol. 18. Paris : Henri Plon, 1860. 299-300.

Rapport de Latour-Lamontagne du 21 septembre 1793. Réimpression de l'ancien Moniteur depuis la réunion des Etats-Généraux jusqu'au Consulat, mai 1789-novembre 1799. Vol. 18. Paris : Henri Plon, 1860. 246.

Rapport de Latour-Lamontagne du 5 pluviôse an II. Réimpression de l'ancien Moniteur depuis la réunion des Etats-Généraux jusqu'au Consulat, mai 1789-novembre 1799. Vol. 20. Paris : Henri Plon, 1862. 211.

Rapport de police du 14 germinal an III. Réimpression de l'ancien Moniteur depuis la réunion des Etats-Généraux jusqu'au Consulat, mai 1789-novembre 1799. Vol. 22. Paris : Henri Plon, 1862. 343-345.

Rapport de Prévost du 8 brumaire an II. Réimpression de l'ancien Moniteur depuis la réunion des Etats-Généraux jusqu'au Consulat, mai 1789-novembre 1799. Vol. 18. Paris : Henri Plon, 1860. 187.

Rapport du 24 février 1794. Réimpression de l'ancien Moniteur depuis la réunion des Etats-Généraux jusqu'au Consulat, mai 1789-novembre 1799. Vol. 18. Paris : Henri Plon, 1860. 265.

Révolutions de Paris. Réimpression de l'ancien Moniteur depuis la réunion des Etats-Généraux jusqu'au Consulat, mai 1789-novembre 1799. Vol. 18. Paris : Henri Plon, 1860. 150.

Rousseau, Jean-Jacques, Emile ou De l'éducation. 1762. Paris : Garnier-Flammarion, 1966.